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aurais-je le temps ?

Jeudi 10 février 2011 à 14:13

Le problème c'est que t'es un peu trop tout ce que j'aime...

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...suite à ça ne t'étonne pas que tu sois tout pour moi

Dimanche 6 février 2011 à 20:48

Et puis des fois on se dit mais merde c'est comme ça qu'ils fonctionnent tous? Un verre de sifflé trois meuf pour coucher ? Et puis un jour c'est comme ça. Ca te tombe dessus sans que tu ne sache trop pourquoi. Quel plaisir il y a? Forniquer pour forniquer ? C'est ça notre réalité aujourd'hui ? Combien de temps vas t'on se pourrir intérieurement ? Une capote mal retiré . une discussion non terminé . une fin déchiré. C'est ça aujourd'hui la beauté de deux personnes qui s'aiment ?
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.(..) Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n’est qu’un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c’est l’union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux. (...)

Alfred de Musset - On ne badine pas avec l’amour - Acte II, Scene 4

Si on cherche bien l'amour c'est plus ça. Un sentiment instable entre deux être fiére. Mais l'amour ce n'est sûrement pas être réduit à son statut d'animalité. Tout compte l'être humain n'est finalement qu'un animal dans son manque de bon sens et de tact pour lui les filles sont des putes et le resteront . La fierté masculine n'est pas sérieuse à 17 ans .

Dimanche 6 février 2011 à 20:43


8 octobre 1993 une chambre dans la banlieue de Paris pas de cris. Des yeux grands ouvert s'illuminèrent un jour de pluie. J'étais si bien mais la lumière omniprésente de cette piéce aveuglait mon visage. Les voix que j'entendais en sourdine d'habitude à présent pesait sur moi. D'une voix fluette elle a prononcé mon nom: Elena. Elle m'a prise dans ses bras et m'a bercé. J'étais sa deuxième des cheveux noir orné ma tête et des yeux foncé. Le visage d'un enfant en bas âge. Le visage d'une deuxième demoiselle qui trotterait dans les rues de Paris pour partir vers le sud. Une petite ville perdu prés de la campagne avec pour grande beauté des monument classés historique et des rencontres national de la photo. Une grande soeur pour modèle. Et une  séparation brutale à l'âge de dix ans. Une vie pratiquement banale de nos jours. Alors oui nous ne serons rien sans naître.

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