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aurais-je le temps ?

Dimanche 23 octobre 2011 à 13:25

A 17 ans ou 18 ans à peine entamé les deux pieds joints sur une fin d'année clôturé http://follow.me.cowblog.fr/images/photocabine1l.jpg
elle n'avait aucune envie de laisser derrière elle son passé.
Et pourtant pourtant on ne lui avait pas laissé le choix.
Il fallait grandir et suivre comme tout le monde la route vers le futur. Elle semblait voir des moutons ratatinés qui se devait de dire oui aux études oui au futur oui au départ oui au changement oui au au revoir. Mais elle elle ne voulait pas les laisser. Des larmes suspendue sur ses yeux et les doigts tremblant tirait sur cette valise bien trop remplie de photos de souvenirs de lettres de secret qu'il lui avait valut 15 ans de scolarité. On doit tous continuer à avancer et grandir. Grandir elle voulait bien avoir 18 ans 20 ans 25 ans mais jusqu'à quels point ? Les âges les années c'était magnifique aller en boîte pour la première fois, dormir avec son copain, se plonger dans des soirées arrosés, avoir sa première paye, se maquiller pour la première fois. Oui grandir c'était bien. Mais en aucun cas claquer cette porte elle le voulait. Claquer cette porte où 8 ans auparavant elle était rentrée, bourrée de doutes de stress et d'une immense tristesse. Et pourtant cette maison elle l'avait aimé elle y avait fait toutes les conneries possible elle y avait pleurer rie elle y avait fait venir ses amies ses ennemies ses amours ses ennuies cette maison cette ville elle l'a connaissait par cœur. Tout lui semblait divin. Pour quoi ? Pour repartir plus déterminé que jamais mais avec un soupçon de regrets qu'elle appellerait de nouveau: Le grand départ.

Samedi 22 octobre 2011 à 23:50

Ce n'est pas parce que c'est difficile que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas que c'est difficile... Je n'ai jamais éprouvé de difficultés pour m'attacher au gens. J'ai aimé, souvent, enfin assez pour me rendre compte que l'amour c'était aussi triste que beau aussi épuisant que simple. Puis un jours il a débarqué assis prés de moi. Je perdais partie sur partie il en riait. Un rire à faire vibrer la planéte entière un rire gras qui m'a fait tourner la tête. Son regard son sourire tout en un instant m'a fait chavirer. Pourtant je savais que l'homme avec qui j'allais changer les draps était celui que je voulais. Mais lui, lui... M'a embarqué en un instant dans mes rêves d'enfant au pays des merveilles. J'aimerais me perdre, quitter mon corps et flotter,flotter dans les airs, m'asseoir sur un nuage et rêver, rêver que je peux encore aimer, aimer cette personne J'ai envie qu'il me chatouille, qu'il me pince, qu'il me marche sur les pieds, qu'il me souffle dans les oreilles. J'ai envie qu'on se chamaille, qu'on se dispute. J'ai envie qu'il se moque de moi, j'ai envie de lui en vouloir, j'ai envie qu'il fasse tout pour qu'il se faire pardonner. J'ai envie de sentir sa main prendre la mienne, comme ça, sans prévenir. J'ai juste envie que sa peau touche la mienne, même si c'est mon doigt sur son doigt, mon genoux qui frôle le sien. J'ai envie qu'on se tiraille, qu'on se provoque. J'ai envie de sourires espiègles, de phrases piquantes, de joues qui rougissent. J'ai envie que je le perde. Et pourtant rien de tout ça puisque ni son prénom ni son nom je ne connaissais je pouvais seulement espérer le revoir. Puis c'est à ce moment là que tout le monde à choisi pour partir. Il en réstait trois à bon port. Lui moi et un autre... Sur une plage de l'alcool peut etre trop la mer le sable sur ma peau glissait lentement ses lèvres mes mains sa bouche mon corps son torse mes jambes son regard mes seins tout en un instant c'est confondu lentement. Depuis qu'il s'est imicé dans ma vie je n'ai plus peur d'aimer. Surement que je vais me bruler encore. Surement que je le regretterais dans quelque mois. Mais quoi de bon que de se lover dans les bras d'un étranger. Celui qu'on ne connait pas mais qui vous protége vous sourie vous couvre de baisers vous caresse lentement vous fais valser accéder au désirs pur de ce mélange entre deux corps qui s'entre mêle ? Comme une chaleur sous la chair, pour se défaire de l'instant.Remettre à nos seuls désirs celui de se sentir exister,celui de ne pas se retenir d'être enclin à aimer.Toucher pour un moment les étoiles,nos yeux brillants,remplis d'affection et d'admiration,et faire naître de chaque mot,de chaque son,une musique en composition,pour s'y laisser bercer. Prendre le bonheur à l'éphémère comme il arrive,le bonheur qui nous libère.Ressentir les belles choses qu'il diffuse en nous... Oui c'est ce que j'ai ressentis quand il m'a fait valser ce soir là. Quand le sable froid venez à se mêler de cette fougue incertaine appellé le désir. Quand sa bouche se noyais se perdait dans la mienne. Je n'attends plus aujourd'hui je peux le dire je n'ai jamais eu autant de résitance à l'amour et je resiste encore pour ne pas t'aimer... Supplie moi de te hair, part part pour pas que je puisse souffrir... Tu as remis sur mes lévre ce sourire qui s'était éffacé mais sache que si tu me poses sur le bord de la route il disparaitra à nouveau et s'évaporera à tout jamais...

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