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aurais-je le temps ?

Vendredi 24 juin 2011 à 15:09

http://follow.me.cowblog.fr/images/Photodu3485213506a0940.jpgCe que je pense..
Ce que je dit..

Ce que je veut dire..
Ce que je croit dire..
Ce que j'entends..
Ce que je croit entendre..
Ce que je veut entendre..
Ce que je comprends..
Ce que je veut comprendre..
Ce que je croit comprendre..
Essayons seulement de.... communiquer.

Mercredi 15 juin 2011 à 11:36

C'tait pas une histoire de tourner la page .http://follow.me.cowblog.fr/images/P1050010.jpgMais plus de commencer un autre livre ...

Mercredi 15 juin 2011 à 11:24

Je ne pense qu'à toi, c'est pas vrai mais c'est beau...http://follow.me.cowblog.fr/images/P1050044.jpgJe serais toujours là pour toi, c'est jolie mais c'est faux...


Samedi 11 juin 2011 à 18:11

C'est en regardant le sang jaillir de tes orifices, en te voyant vomir, plié en deux, dégueuler ta rancœur sur le carrelage luisant, que j'ai compris que le silence était magnifique, t'entends ? Magnifique. Et d'ailleurs c'est ce jours là où je me suis dis que la putréfaction de ton être me faisait accéder à la jouissance pleine et une harmonie plaisante.

http://follow.me.cowblog.fr/images/Photodu4765061306a1314.jpg
FUMIER'



Jeudi 10 février 2011 à 14:46

         Elle avait sur la tête un béret rouge et un long manteau noir. Elle avait une écharpe et des gants dans les tons chauds qui s’accordaient parfaitement avec le rouge de son béret. Elle trainait un sac type besace qui ressemblait plus, comme disait sa mère « à un immense sac poubelle en tissus qu’à un sac de jeune fille » mais elle, elle l’aimait son sac. Elle y avait des souvenirs de 20 ans de vie dedans. Ses papiers d’identité, son portable qui lui servait de baladeur, un petit carnet où elle y notait de bons moments, son agenda, ses clefs, quelques photos, ses cigarettes, des petits mots, des dessins de toute sorte… Et puis et puis oui effectivement son sac regorgeait d’accessoires diverses dont elle ne comprenait même plus l’utilité. Mais ils avaient tous plus de valeurs à ses yeux qu’un milliardaire. Si on regardait sa chambre on comprenait son sac. Elle croulait sous les souvenirs diverses. Des objets de tous lieux, de différents endroits, de diverses soirées, d’après-midis, d’apéros et même de nuits. Elle les collectionnait de ses amis, de ses copains, de ses parents, de ses proches… Elle écrivait, dessinait, photographiait, pour se souvenir toujours plus. Comme si elle ne voulait pas perdre une miette de son vécu. Comme si chaque objet avait une importance cruciale. Comme si chaque parcelle de son existence se devait de vivre à jamais à côté d’elle. Comme si elle avait peur de perdre sa propre vie. Comme si l’amnésie l'a guetté chaque fois qu’une journée se passait.

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