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aurais-je le temps ?

Samedi 22 octobre 2011 à 23:50

Ce n'est pas parce que c'est difficile que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas que c'est difficile... Je n'ai jamais éprouvé de difficultés pour m'attacher au gens. J'ai aimé, souvent, enfin assez pour me rendre compte que l'amour c'était aussi triste que beau aussi épuisant que simple. Puis un jours il a débarqué assis prés de moi. Je perdais partie sur partie il en riait. Un rire à faire vibrer la planéte entière un rire gras qui m'a fait tourner la tête. Son regard son sourire tout en un instant m'a fait chavirer. Pourtant je savais que l'homme avec qui j'allais changer les draps était celui que je voulais. Mais lui, lui... M'a embarqué en un instant dans mes rêves d'enfant au pays des merveilles. J'aimerais me perdre, quitter mon corps et flotter,flotter dans les airs, m'asseoir sur un nuage et rêver, rêver que je peux encore aimer, aimer cette personne J'ai envie qu'il me chatouille, qu'il me pince, qu'il me marche sur les pieds, qu'il me souffle dans les oreilles. J'ai envie qu'on se chamaille, qu'on se dispute. J'ai envie qu'il se moque de moi, j'ai envie de lui en vouloir, j'ai envie qu'il fasse tout pour qu'il se faire pardonner. J'ai envie de sentir sa main prendre la mienne, comme ça, sans prévenir. J'ai juste envie que sa peau touche la mienne, même si c'est mon doigt sur son doigt, mon genoux qui frôle le sien. J'ai envie qu'on se tiraille, qu'on se provoque. J'ai envie de sourires espiègles, de phrases piquantes, de joues qui rougissent. J'ai envie que je le perde. Et pourtant rien de tout ça puisque ni son prénom ni son nom je ne connaissais je pouvais seulement espérer le revoir. Puis c'est à ce moment là que tout le monde à choisi pour partir. Il en réstait trois à bon port. Lui moi et un autre... Sur une plage de l'alcool peut etre trop la mer le sable sur ma peau glissait lentement ses lèvres mes mains sa bouche mon corps son torse mes jambes son regard mes seins tout en un instant c'est confondu lentement. Depuis qu'il s'est imicé dans ma vie je n'ai plus peur d'aimer. Surement que je vais me bruler encore. Surement que je le regretterais dans quelque mois. Mais quoi de bon que de se lover dans les bras d'un étranger. Celui qu'on ne connait pas mais qui vous protége vous sourie vous couvre de baisers vous caresse lentement vous fais valser accéder au désirs pur de ce mélange entre deux corps qui s'entre mêle ? Comme une chaleur sous la chair, pour se défaire de l'instant.Remettre à nos seuls désirs celui de se sentir exister,celui de ne pas se retenir d'être enclin à aimer.Toucher pour un moment les étoiles,nos yeux brillants,remplis d'affection et d'admiration,et faire naître de chaque mot,de chaque son,une musique en composition,pour s'y laisser bercer. Prendre le bonheur à l'éphémère comme il arrive,le bonheur qui nous libère.Ressentir les belles choses qu'il diffuse en nous... Oui c'est ce que j'ai ressentis quand il m'a fait valser ce soir là. Quand le sable froid venez à se mêler de cette fougue incertaine appellé le désir. Quand sa bouche se noyais se perdait dans la mienne. Je n'attends plus aujourd'hui je peux le dire je n'ai jamais eu autant de résitance à l'amour et je resiste encore pour ne pas t'aimer... Supplie moi de te hair, part part pour pas que je puisse souffrir... Tu as remis sur mes lévre ce sourire qui s'était éffacé mais sache que si tu me poses sur le bord de la route il disparaitra à nouveau et s'évaporera à tout jamais...

Vendredi 30 septembre 2011 à 16:02

"Ah ! Si j'avais un franc cinquante
J'aurais bientôt deux francs cinquante
Ah ! Si j'avais deux francs cinquante
J'aurais bientôt trois francs cinquante
Ah ! Si j'avais trois francs cinquante
J'aurais bientôt quatre francs cinquante
Ah ! Si j'avais quatre francs cinquante

Ça m'frais bientot cent sous"

Mercredi 21 septembre 2011 à 21:05

Je pensais t'avoir tout dit. En tout cas je pensais que tu l'avais compris. - Compris quoi tu me diras ? - Que je t'aimais. - Bon d'accord mais ça je le sais. Quoi d'autres ? - Que je pourrais jamais t'oublier. - Mais moi non plus. Alors on fait quoi ? - Et bien on fait ce que tu veux. Je t'aimerais jusqu'à la décomposition l'a tu compris ? - Non tu ne peux pas persister. - Tu vas vraiment m'aimer jusqu'à la fin ? - Oui je pense.-  Alors notre amitié cessera. Tu en es consciente? - Oui complètement. - Et c'est ce que tu veux ? - Bien sur que non. - Alors fais un effort.-  Mais pourquoi? - Pour cesser de m'aimer. - Comme ci c'était facile (silence) ... - Alors tu veux faire quoi ? - T'aimer encore. (silence) - Tu mets au risque notre amitié pour des sentiments qui n'aboutirons nulle part ? - Mais crois tu que c'est si simple ? Tu crois que je ne veux pas t'oublier ? Claquer des doigts en disant c'est fini ? - Non je sais c'est pas facile. Mais il le faudra bien je ne veux plus me prendre la tête. - Je t'aime. - Arrête je le sais me fait pas passer pour un salaud parce que je peux pas te rendre ce que tu me donnes - Oui désolée - Arrête d'être désolée on avance pas là - Si j'avance mais sans toi je peux pas - Il le faudra - Quoi tu veux me laisser ? - Non, qui a parlé de ça ? C'est toi qui en parle tout le temps. Non je dis juste qu'une distance s'installe forcément entre nous mais notre amitié reste la même - Prends moi dans tes bras - Je ne veux pas - Et pourquoi ça? - Et bien pourquoi pas ? - Mais parce que je t'aime - Tu n'es qu'une amie pour moi tu entends ? - Tu ne peux pas dire ça après ce qu'on a vécu . Alors je ne compte pas pour toi c'est ça ? - Mais bien sûr que si mais... en tant qu'amie. - (larmes) - Dis dans 10 ans on se verra toujours ? - Peut être on ne peut pas savoir. - Alors comment tu sais que tu m'aimeras jamais ? - Et toi comment tu sais que tu m'aimeras toujours ? - (silence) - Je le sens . - Et bien moi je le sais je ne peux pas tomber amoureux de toi - (silence puis larme) - Arrête de pleurer on ne peut jamais parler avec toi - Je ne peux pas vivre sans toi tu comprends ? - Mais si tu peux tu l'as fais pendant des années - Oui mais avec toi c'est un pur bonheur de vivre. Tu ne m'as pas dit dans 10 ans ? - Ça dépends de toi. Pour l'instant on fait quoi ? - On repart de 0. Je vais tenter d'avoir une amitié normal avec toi - Ça fait un ans que j'entends ça - Laisse moi une dernière chance - D'accord. Mais fais attention à toi. Je ne veux que ton bonheur - Mais mon bonheur c'est toi - Chut...(Silence) ...

LA DER DES DER...

Samedi 9 juillet 2011 à 15:32

"Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers,
Picoté par les blés, fouler l'herbe menue :
Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.
Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
Mais l'amour infini me montera dans l'âme,
Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Par la Nature, -- heureux comme avec une femme. " A.R

Vendredi 8 juillet 2011 à 15:46

http://follow.me.cowblog.fr/images/Photodu5669511007a1544.jpgAujourd'hui n'existe plus et hier n'était pas mieux que demain ne seras. Lorsque les mois défilent, ils ne reviennent pas. L'espoir s'évapore lentement. Ses paroles sont dessinée par des mots discret se plaquant contre mes lèvres incolores. C'est surement dans son regard que naissent mes doutes, l'intonation de sa voix, sa gestuelle me rappelle nos différences. Mais je n'ai rien à dire, j'ai crée cette situation, je l'ai même désirée, être ici aujourd'hui, c'est ma mort, mon suicide, mon absolution. Je l'aimais je l'aimais tant il était mon amour. Il était mon futur mon passé mon présent.

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